En résumé, dans les constats, il est mentionné notamment que l’itinérance est un enjeu de société, qui prend racine dans la pauvreté et les inégalités sociales. Elle reflète la pénurie de logements sociaux et l’absence d’options pour les personnes vulnérables, souvent blâmées à tort pour leur situation. De plus, la problématique s’aggrave avec des défis spécifiques, comme la santé mentale et les diverses formes de violence. La stigmatisation et les violations des droits compromettent la dignité et la sécurité des personnes concernées. Malgré l’efficacité prouvée de la prévention, elle est encore sous-utilisée. Il est donc crucial de miser sur une approche globale, avec des services spécialisés, pour répondre à la diversité des besoins. Ces solutions manquent actuellement d’équité dans leur déploiement. Le sous-financement du secteur communautaire limite sa capacité à répondre aux besoins. Et pourtant, la vision du changement appelle à une société équitable et inclusive, mettant l’accent sur la prévention et des services adaptés. Il est aussi mentionné qu’une gouvernance intersectorielle est essentielle pour coordonner les efforts et reconnaître l’expertise des différents acteurs, le tout soutenu par un financement adéquat. La transformation sociale est nécessaire pour prévenir la précarité et réduire l’itinérance au Québec.

Pour présenté ici un condensé du préambule de la déclaration, il y est notamment question de renforcer les droits et la dignité des personnes en situation ou à risque d’itinérance, il est nécessaire de reconnaître le droit fondamental au logement et de développer des logements sociaux accessibles. Il est aussi crucial de garantir un revenu décent en révisant les programmes d’aide sociale. Une approche globale visant les causes structurelles de l’itinérance, avec des investissements en prévention, est primordiale. L’accès universel aux services essentiels doit être assuré, en utilisant des approches inclusives et adaptées. La continuité des services, surtout lors des transitions critiques, doit être maintenue. Il faut éliminer les pratiques discriminatoires et adopter dans le différentes structures du réseau des approches humaines et respectueuses. Enfin, la lutte contre la stigmatisation et la discrimination, en promouvant la solidarité sociale, est essentielle, tout en respectant et incluant les perspectives des personnes concernées.